J’ai une passion pour la Fnac. Depuis 30 ans. J’ai même la carte de fidélité des champions, la ONE, c’est vous dire !
J’ai commencé par la Fnac des Halles, à l’époque où j’habitais dans le Marais. Puis, au fur et à mesure de mes nombreux déménagements (!), j’ai pu visiter la plupart des Fnac de Paris et région parisienne. En vivant à Montréal, c’est la Fnac qui m’a manqué souvent, j’ose le dire.
La Fnac, j’y vais au moins une fois par semaine. J’ai mes préférées, selon les jours : en semaine, celle de Vélizy, pas loin de chez moi. Elle est petite, je connais chaque rayon, je sais où sont les livres selon les thèmes, je discute avec les libraires, ils me connaissent, depuis le temps. Ils sont de bon conseil et généralement très au fait de ce qui sort.
Celle de Montparnasse, le samedi. C’est vrai, il y a toujours beaucoup de monde, mais elle est vraiment très bien achalandée. Là, je flâne et je fais des découvertes. J’y suis très tranquille et je peux y fouiner 3 heures sans voir le temps passer.
Enfin, celle des Ternes, c’est celle du dimanche matin. Il n’y a pas trop de monde et là aussi, elle est immense. Beaucoup de choix.
A chaque fois je me cantonne au rayon livres et BD, car c’est ce que je viens chercher à la Fnac. Il parait qu’il y a d’autres rayons, je ne sais pas, je n’y vais jamais. Parfois, je vois bien que des nouveaux trucs (télé, aspirateurs, robot cuisine…) tentent d’empiéter sur mes chers rayons Livres. Heureusement, avec mes amis lecteurs et les libraires de la Fnac, nous luttons âprement pour conserver nos espaces. La Fnac c’est mon refuge de « tsundokiste » ; à chaque voyage en France, j’étais heureuse d’y retourner. Et pour encore longtemps, j’espère ! Les liseuses et autres objets électroniques ne nous piqueront pas la place 🙂